Une réflexion afin d’apprendre des erreurs engendrées par le grand débat sur la notion d’identité nationale, j’en appelle à liberté de chacun.
La période actuelle met en avant les doutes sur la notion de démocratie mais comment y répondre sans faire l’économie d’une réflexion sur l’existence des droits et s’approprier une connaissance de notre sytème gouvernemental , de ses services, ses ministères, ses bureaux ?
Connaître les acteurs de notre société civile ne serait t’il pas nécessaire ?
Le travail de , Catherine Tourette – Turgis est un exemple dans le domaines de la santé et des vulnérabilités mais qu’en est t’il des autres ministères et autres champs d’actions ?
De tous ceux pour qui pour des raisons sociales économiques ou territoriales n’ont pas accès à ces informations et aux leviers d’actions ?
Comment leur demander de pouvoir exercer leur droit de votre et d’être un « bon » citoyen face à une ignorance de fonctionnement de notre système et des lois qui le régisse?
Pouvons nous être « une société démocratique » sans la participation active des citoyens ?
Cette volonté est pourtant présente, le cri des gilets jaunes en est un exemple néanmoins nous somme encore confronté à la difficulté de répondre à la question :
« Qu’est ce qu’être citoyen ? »
Comment cela s’incarne t’il dans un état de droits ?
Pourquoi ne pas s’approprier ces questions et mesurer les connaissances de notre entourage sur ces questions?
Pour les parents c’est une invitation au débat philosophique !
Pour les entreprises cela peut être une opportunité d’interroger leurs valeurs, leur raison d’être et leur apport RSE!
Pour les associations et les acteurs de terrains l’occasion d’un partage de vos actions qui incarne la démocratie dans un état de droits?