Selon vous, l’Art est-il un outil du pouvoir ou bien un moyen de résistance ?

Selon vous, l’Art est-il un outil du pouvoir ou bien un moyen de résistance ?
On parle beaucoup d entreprises toxiques , de pervers narcissiques et le vocabulaire nous offre tout une gamme d’expressions fleuries pour justifier les logiques interactionelles au sein de nos organisations, mais ces phénomènes ne sont t’il par l’expression de certaines pratiques de notre civilisation?
Cette cruauté, est -elle la reproduction d’un héritage ou bien le signe d’une souffrance plus profonde ? Si l’expérience de Milgram la pose comme tendance “naturelle”, ses multiples variantes ne seraient donc que l’illustration d’un mal plus profond?
“On apprend que le mot « esclave » vient de la traite des peuples slaves sous le haut Moyen Âge et que Verdun n’a pas attendu la Grande Guerre pour devenir le théâtre d’une boucherie infâme…“
PPRISCILLE LAMURE, DRÔLE(S) D’HISTOIRE(S), CABINET DE CURIOSITÉS HISTORIQUES ET DÉJANTÉES, Editions du Tresor, 2018
De la soumission à l’ impuissance, la culture de l’entreprise bien loin de celle affichée sur ses différents engagements, devient alors le symbole d’un lieu de souffrance et de reproduction des pires facettes de notre humanité.
C’est généralement a ce moment ou l’on va faire appel à mes services. Outre la réflexion historique proposée dans cet article, la prise de conscience des entreprises “bienveillantes” se posera comme une prise de conscience de ses ambitions face aux moyens quelle met en oeuvre pour y parvenir, à savoir son fonctionnement.
Après un ou deux procès, j’entendrai dans les entretiens des phrases du type :
« Tout le monde savait dirions nous ! Mais nous ne pouvons pas .. ».
La culture de la peur a l’égard de ces personnes qualifiées par Levinas comme “sans visages” permet de mieux appréhender leurs souffrances.
La souffrance des “sans visages” étant entretenue culturellement et générée par une lourde structure administrative n’est pas « très » propice a la transparence et à la confiance ainsi le silence reste de mise et le système de reproduction de la cruauté se poursuit. La violence devient ainsi un mode d’interaction comme un autre.
Néanmoins ce phénomène n’est pas nouveau, si nous l’avons tous côtoyé, nous entendons régulièrement les aventures de ceux qui autour de nous travaillent dans « un panier de crabes ».
Lorsque les sociétés de conseil évaluent les coûts financiers et humains de ces « tyrans » tout porte à croire qu’une psychothérapie individuelle (1) aurait été plus appropriée, mais comment proposer une telle prise en charge?
Est ce vraiment le rôle des entreprises d’orienter ses salariés vers des structures psychiatriques?
Comment la prévention des risques pssycho-sociaux peut-elle apporter une réponse à ce dileme?
Si le silence est de mise, car personne n’aime s’entendre dire qu’il doit “consulter” comment alors faire entendre cette souffrance qui habite ceux qui l’a font subir ?
Quel lien pouvons nous observer entre la souffrance qui se taie et la violence par laquelle elle se manifeste.
Si il est aisé de realiser un audit , (car au de la des conséquences juridiques, c’est surtout la repercussion sur la production qui sont ici visés ). En revanche , la question ici serait de savoir si la culture du tyran, en tant que mode de soumission et se manifestant comme une violence quotidienne, est un handicap pour l’entreprise et les institutions ?
Ou si au contraire, n’étant que la face “sombre” de notre humanité, ne se contentant que de “reproduire” notre culture, s’intégrant parfaitement dans le paysage , pouvant même améliorer les performance de l’organisation?
(1) Si on nous demande de « détecter » le tyran cela ne peut se faire sans un accompagnement psychologique.
“Chef d’orchestre de notre organisme, le cerveau nous livre peu à peu ses secrets. Son implication dans tous nos faits et gestes, dans notre humeur, dans la réalité de notre quotidien fascine toujours autant les scientifiques.
En 2025, Neuroplanète fêtera dix ans de succès et inscrira une partie de sa programmation dans la dynamique scientifique créée par l’organisation de l’UNOC à Nice en juin. En marge des conférences, des ateliers proposeront au grand public de mieux comprendre et d’appréhender le fonctionnement et les mécanismes du cerveau. “
Peut t’elle être le socle de l’espérance?
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Venez incarner la philosophie !
Qu’est ce que l’honneur?
Comment prend t’elle place dans notre quotidien?
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La chanson de Roland.
Crédits : ©Luisa Ricciarini/Leemage
Droits d’auteur : ©Luisa Ricciarini/Leemage
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